Lorsque tu la rencontres, elle frémit dans tes cellules, elle réinvente ton corps mais plus encore elle efface le temps…. Ce que je veux dire par-là, c’est que la notion du temps ne t'apparaît alors plus de la même façon. Peu à peu il devient élastique puis s’efface progressivement de ton esprit.
Tu vis alors dans le présent continuel et chaque instant est un nouveau présent. Tu ne te poses plus la question de l'âge, tu ne te poses plus la question de la durée de la vie car dans le présent ces pensées là ne t'effleurent même pas. ( Et si elles venaient traverser ton esprit tu les trouverais incongrues, déplacées, et elles ne te perturberaient pas car tu te sens si vivant.)
Rencontrer la source de la jeunesse, la source de la joie, c'est entrer au plus profond de soi, c’est s’installer dans « Sa maison, son temple » et laisser le frémissement prendre toute sa place.
Le frémissement organique des cellules transforme ta peau, la rend lumineuse, rayonnante... L'énergie qui parcours ton corps, tes muscles, fluidifie les tensions, les douleurs, l'énergie apaise ton cœur et aide à la digestion, etc... C'est ce que l'on appelle la Grâce : Quelque chose de plus grand que toi, que ton corps te donne des ailes de lumière. Quelque chose de plus grand que toi, - mais qui est le véritable toi, inséparable, inséparé -.
La légèreté, oui tu deviens la légèreté !
Mais tu reste bien ancré sur la terre, pour agir ici avec ton corps vibrant.
Comment rentrer totalement en soi ?
En se séparant de tout ce qui n’est pas le "véritable toi", les croyances qui t’éloignent de toi, les tensions qui empêchent la vibration de circuler librement dans ton corps.
Déverrouille des verrous qui t’ont empêché d'accéder à ton « chez toi », à qui tu es.
Tu peux croire que tu ne connais pas encore ton chez toi, pourtant tu le reconnaîtras dès que tu y seras.
La vérité c'est que tu le connais déjà, même si tu l'as oublié, même si il s'est effacé de ta mémoire, et c'est parce que tu le connais déjà que tu en as une nostalgie terrible, une tristesse existentiel. (Tu vois ce que je veux dire ? )
Appelons cela la "nostalgie de la maison".
Ne pas être chez toi c'est ne pas être avec toi.
Ne pas être avec toi c'est la chose la plus douloureuse qui soit, c'est ce qui nous fait vieillir trop vite. C'est ce qui fait que nous nous oublions dans les taches quotidiennes qui n'ont pas de sens, c'est ce qui fait que nous courons pour rattraper le temps… Le temps qui n'existe pas.
Si tu désires recontacter ton Etre profond, si tu désires retrouver qui tu es vraiment… je te donne la main.
Avec Amour,
Véronique Aubin